Vous trouverez ci-après les sujets suivants abordés :
Depuis la Covid 19 en 2020 les tensions entre médecine douce et l'allopathie se sont exacerbées dans les médias, sur internet et dans la culture française. Il existe des extrémistes des deux bords, malheureusement.
Plutôt que des dogmes, des croyances, il est salutaire d'observer la réalité et l'efficacité avec recul sur un grand nombre de cas. Ce n'est pas chose évidente car nous manquons de données, de statistiques, et même celles-ci peuvent être orientées, manipulées, que ce soit dans un sens ou dans l'autre. De même pour l'agrément d'un médicament qui s'avèrera des années plus tard trop nocif pour la santé, pour certains vaccins aussi, mais ce n'est pas parce qu'on s'aperçoit qu'un médicament en particulier s'avère trop déséquilibré dans son rapport risque/bénéfice, qu'un laboratoire a même parfois sciemment manipulé les chiffres, que tous les médicaments doivent être rangés sous la même étiquette.
Ma compagne étant infirmière de carrière et étant en contact avec le monde médical, de par mon expérience en tant que praticien aussi, je sais pertinemment que la médecine chimique de synthèse reste et restera intéressante, nécessaire parfois, lorsqu'elle est utilisée avec justesse, condition sine qua non car elle comporte nettement plus de risque que les substances naturelles utilisées couramment par les praticiens complémentaires. Ce sont les abus et l'hégémonie qui posent problème. D'ailleurs, je suis extrêmement admiratif devant les possibilités qu'offre la médecine contemporaine, parce que j'ai vécu de nombreuses choses en France et à l'étranger. La correcte utilisation des antibiotiques par exemple lorsqu'une pathologie le nécessite et qu'il n'y a pas d'alternative satisfaisante. Les régulateurs d'hormones (thyroïde, insuline, etc.) idem. Les exemples ne manquent pas, et seuls ceux qui n'ont pas été suffisamment confrontés à ces problématiques peuvent se montrer anti-médicaments par dogmatisme. S'ériger contre les médecins est soit une attitude réactionnaire (généralement liée à une ou plusieurs mauvaises expériences, mais aussi parfois juste par influence de proches ou réseaux sociaux, ou des dogmes et peurs archaïques). Les médicaments ont certes un coût de toxicité, mais le corps n'est pas sans capacité à s'auto-nettoyer d'une part et il s'agit d'évaluer le risque/bénéfice avec pertinence. A l'inverse, les allopathes qui conspuent les approches complémentaires le font par méconnaissance et dogme, ou de manière réactionnaire eux aussi à la suite d'une ou plusieurs mauvaises expériences. Il y a aussi des guerres de chapelle, des prés carrés à protéger parfois, du clientélisme, des affaires d'egos encore. L'approche exclusive ne correspond en rien à l'expérience, à l'observation et au réel. C'est ainsi qu'en Allemagne le Heilpraktiker, équivalent du naturopathe, est reconnu par le système de santé allemand, tout comme en Suède, Norvège, aux Pays-Bas, en Suisse, Hongrie, au Portugal ou encore en Grande Bretagne. On pourrait évoquer aussi les Etats-Unis, la Chine, l'Inde, le Japon, etc., qui ont intégré les médecines douces sans rejeter l'allopathie.
Il faut reconnaître qu'il existe de mauvais médecins, comme il existe de mauvais naturopathes, ou de mauvais praticiens de médecine douce, ou de mauvais garagistes, plombiers, enseignants, avocats, maçons, réparateurs, commerciaux, policiers, infirmiers, employés, etc. Il existe des charlatans de tous bords, des abus et déviances de surcroît dans la nature humaine. Les médecins sont très protégés à ce niveau par leur statut et l'Ordre ; il faut vraiment être extrêmement déviant pour y être remis en cause. J'ajouterais ce bémol : de mon point de vue et d'après les expériences que j'ai pu vivre, les mauvais médecins sont très nettement plus dangereux que les mauvais naturopathes, car ces derniers viennent en général s'occuper du fond et du bien-être, non de l'urgence et de l'aiguë, de plus les effets iatrogènes des plantes et autres substances naturelles sont rarement dangereuses au regard de leur utilisation. A quelques exceptions près, il y a beaucoup de faux procès concernant les médecines douces. Mon voeu est que le dialogue s'installe car je suis persuadé que nous ne sommes pas plus stupides et bornés que dans la grande majorité des pays qui ont déjà fait cette démarche depuis des décennies, des siècles parfois (l'Allemagne et la Suisse depuis plus d'un siècle tout de même), voire des millénaires pour la plus grande partie de l'humanité (Chine, Inde, etc.).
Avec l'épidémie de coronavirus de 2020, ce sujet s'était retrouvé au premier plan. Durant l'hiver 1969 et la grippe de Hong-Kong qui fit au moins 30.000 morts en France, les médias et les politiques passèrent sous silence l'étendue du phénomène. Plus encore la grippe asiatique de 1957-58 dont on peine à évaluer l'échelle, entre 15.000 et 100.000 morts en France. Cette fois-ci, la politique inédite du confinement, les contraintes légales et la défiance d'une partie de la population envers le gouvernement et la médecine jouent avec les nerfs des uns et des autres dans toutes les strates de la société. Cet épisode rappelle à notre bon souvenir que le citoyen est au coeur d un cheminement plus vaste de prises de conscience mais aussi de jeux de fausses-pistes à l'information, de croyances et d'extrémisme parfois. Combiné à l'impact sur l'économie, un bouillon qui réveille des mémoires de crises sociales provoquant parfois la métamorphose de régimes et de gouvernances.
La naturopathie n'exclut pas l'utilisation des médicaments de synthèse lorsqu'elle est appropriée avec discernement. La covid 19 nous avait chatouillé, opérant un tournant dans le 21e siècle qui, à la date de cet article, n'avait pas trouvé de médicament "magique" dont l'efficacité effacerait tout risque morbide, et il y a eu des polémiques concernant l'innocuité vaccinale, et l'efficience au regard des variants qui se sont succédé, des technologies nouvelles utilisées qui ont interrogé les plus prudents, des effets secondaires dissuasifs pour certains sur le plan cardio-vasculaire et hormonal notamment. Chacun est soumis à un arbitrage personnel, en fonction de sa santé et de ses antécédents, de ses moeurs et obligations sociales. Il n'y a certainement pas de réponse globalisante et stricte, mais une analyse individuelle à opérer. D'autant qu'aucun vaccin probablement ne sera durablement fiable, d'où un arbitrage à géométrie variable, car pour les coronavirus et les grippes, les campagnes de vaccination sont connues pour être d'efficacité évolutive à cause des variants se succédant.
Pour la dengue par exemple, Sanofi-Pasteur a travaillé sur un vaccin durant 20 ans et a dû le retirer du marché après un début de catastrophe aux Philippines fin 2017. L'influenza et les coronavirus sont des virus qui mutent beaucoup + l'immunité réagit parfois mal à ce type de vaccins + des adjuvants pointés du doigts dans leurs effets secondaires sur certains terrains génétiques + les affaires liées aux vaccinations sont encore vives dans l'esprit des Français, d'autant que l'OMS est désormais sous la tutelle financière d'intérêts privés - firmes pharmaceutiques (la campagne de vaccination contre l'hépatite B en 1994-95 multiplia le nombre de scléroses en plaques en quelques années à peine, si bien que nous sommes aujourd'hui en France à un taux de 8 cas de SEP sur 100.000 habitant contre 5,5 cas / 100.000 hab avant la campagne de vaccination. Dans de nombreux pays les Etats durent indemniser les citoyens. En France le personnel hospitalier eu gain de cause alors qu'à quelques exceptions près ce ne fut pas le cas pour les autres citoyens. Un esprit de suspicion est encore présent au sein de l'hexagone. Un article spécial vaccins - OMS - firmes pharmaceutiques est présent plus bas dans ce menu Actualités).
Une chose est certaine, au-delà les outils allopathiques (médecine chimique), le terrain reste déterminant pour chaque virus, et l'on observe une fois de plus que les cofacteurs de morbidité et d'âge sont essentiels dans l'analyse de la situation, même si rarement on peut se prétendre à l'abri d'une infection avec certitude. Les exceptions existent, il existe par exemple des organismes humains sur lesquels même le redouté VIH n'a pas de prise. Leur génome particulier a d'ailleurs permis la guérison du fameux Patient de Londres dans lequel les traces du VIH ont disparu pour ainsi dire après greffe de moelle osseuse dans des conditions très spécifiques.
Pour des virus plus classiques comme la grippe saisonnière ou la covid-19, le taux de mortalité est évidemment plus faible et le terrain y a une place encore plus déterminante. Plusieurs facteurs sont à l'oeuvre :
- l'âge ; en fait il s'agit de la vitalité, fatigue, l'état déjà malade et état immunitaire, ainsi que de la médication de la personne qui va être en contact avec le virus ;
- du degré d'exposition au virus, c'est-à-dire sommes-nous en contact permanent ou ponctuel, intense ou léger, avec l'agent pathogène, et si notre organisme a déjà été en contact avec s'il en garde mémoire ;
- de notre hygiène, par exemple notre organisme doit-il aussi combattre de nombreux autres microbes car notre hygiène par exemple de cuisine est très limitée (frigo, l'état de la cuisine, l'état des aliments, etc.).
- de notre intestin qui renferme l'essentiel de l'immunité. Relatif au Covid 19, il s'affirme de plus en plus comme un processus inflammatoire exacerbé et en lien avec les bactéries de l'intestin, et moins comme une pathologie des voies aériennes, même si les processus restent encore non précisés à cette heure.
- de la correcte utilisation des médicaments : certains anti-inflammatoires (Ibuprofène) sont immunosuppresseurs donc déconseillés par exemple.
En naturopathie hygiéniste, on considère aussi l'efficience immunitaire, c'est-à-dire la capacité des globules blancs à se défendre, en nombre et capacité de se mouvoir. De plus, le terrain est déterminant dans l'expansion d'un virus, ce qui fait la différence entre un organisme et un autre (à l'image d'un marécage plus propice qu'un milieu sans eau stagnante pour le développement de moustiques). L'excès alimentaire ou les carences, les produits laitiers (notamment non pasteurisés), le sucre et l'alcool ont des effets pernicieux sur la capacité immunitaire. De plus, un terrain peu oxygéné et oxydé (surchargé en radicaux libres) permet la propagation des virus : la vitamine C par exemple, certains compléments anti-oxydants, le zinc notamment que la chloroquine potentialise et qui a un impact direct sur les coronavirus ainsi que sur la grippe (voir plus bas dans l'article), ou encore l'hydrogène moléculaire dissout dans l'eau (propriétés efficaces contre les infections, les inflammations et combat même les septicémies ! voir l'article plus bas) ont des propriétés préventives et d'accompagnement à ne pas sous-estimer. Ajouter du repos, une activité physique légère pour oxygéner et éviter un effet "marécage" des fluides corporels, des hobbies pour stimuler des hormones bénéfiques, l'adaptation de la température, et vous accompagnerez le terrain très positivement.
L'utilisation d'anti-inflammatoires type AINS est à ce titre proscrit en cas de suspicion d'atteinte par le Covid 19. Si les croyances peuvent aider le malade, ne serait-ce que par l'effet placebo, elles peuvent aussi être néfastes, comme on l'a vu pour la grippe espagnole où les remèdes furent tragiques et renforcèrent le taux de décès (voir article ci-dessous sur la grippe espagnole) ; de même la médication est à utiliser avec connaissance, justesse et maîtrise. Espérons que la science continuera de progresser avec conscience, que les barrières étatiques au mercantilisme industriel seront suffisantes, et que les croyances s'allieront sagement à la connaissance.
Pour terminer sur le célèbre covid-19, notons les informations étonnantes suivantes :
- l'hydrogène dissout dans l'eau (via un appareil ou une fontaine à eau spéciale) a fait ses preuves au cours de nombreuses études scientifiques, notamment même lors de cas graves d'infections avec ou sans septicémies. Que ce soit contre l'infection parasitaire, bactérienne ou virale, son efficacité est étonnante. L'effet antioxydant extrêmement puissant de l'hydrogène moléculaire amoindrit la prolifération des agents pathogènes et aide l'organisme dans l'entretien de ses cellules immunitaires, mais son action est tellement vaste que les études internationales ont explosé ces dernières années, toutefois la France reste à la traîne sur ce sujet. (extrait de l'étude menée en 2017 par Yang M, Zhang Z, Gao B, Liu L, Hu T. Hydrogen Medicine Therapy : "Furthermore, it is an alternative to the therapy of influenza patients and other viral communicable infections. Hence, it could be most appropriate to select the injection of HRS method as the principal H2 treatment for serious viral transmittable infections") Cette thématique fascinante et porteuse de très grands espoirs est étayée scientifiquement dans le menu Conseils Produits qui donne aussi un lien vers un fournisseur du produit. Lien ci-contre :
- le Zinc a un rôle important dans l'immunité, ainsi que pour empêcher la réplication de nombreux virus dans l'organisme. De plus, sa carence conduit à une perte du goût et de l'odorat. Ce symptôme classique du covid 19 pourrait aussi être dû à l'attaque du tissu nerveux sensoriel par l'infection, et il n'est pas prouvé qu'il y ait une corrélation avec une surconsommation du zinc dans le processus de défense de l'organisme provoquant agueusie et anosmie. Par ailleurs, l'ARN polymérase du SRAS (le coronavirus qui avait frappé la Chine notamment en 2002-2003) avait bien été considérablement inhibé dans sa réplication lors d'études in vitro sous l'action du zinc, ce dernier a dès lors été catalogué comme protecteur contre ce coronavirus (le même processus a été prouvé contre le virus de la grippe sous l'action du Zinc). Ajoutons qu'il a été prouvé qu'une carence en zinc conduit à une déficience des défenses immunitaires + une augmentation de l'inflammation. Le zinc a aussi un rôle catalytique pour l'enzyme de conversion de l'angiotensine ; cette hormone a notamment un rôle protecteur dans les syndromes de détresse respiratoire causés par la grippe. Finalement, les effets de la chloroquine sont justement en lien avec l'entrée du zinc dans les cellules : la chloroquine potentialise le zinc car elle le rend davantage bio-disponible au niveau cellulaire. Il apparaît donc que le zinc a un rôle important dans le renforcement du terrain comme dans la lutte contre les virus, et les séniors qui en sont souvent carencés voient notamment le nombre de leurs lymphocytes T (et leur efficacité) très affecté.
- Le cuivre est un élément très intéressant car particulièrement destructeur de tous les microbes, y compris de tous les coronavirus dont le covid 19 : il disloque sa couche protectrice puis démembre son ARN très rapidement. Reste à savoir comment l'utiliser. Je vous propose par exemple dans le menu Conseils Produits un aimant de 2500 gauss recouvert d'une épaisse couche de cuivre qui est bio-assimilable : au contact de la sueur il va diffuser à travers les pores de la peau jusqu'à entrer dans la voie sanguine. Il existe aussi des compléments alimentaires (privilégier sa forme bisglycinate ou picolinate, par défaut orotate car bien mieux assimilée que le gluconate ou citrate). Des autocollants en cuivre existent aussi pour mettre sur les poignées de porte, etc.
- le chlorure de magnésium est un booster immunitaire utilisé pour traiter les malades dans l'ancien temps (tétanos,rougeole, etc.), même si les études manquent et sont anciennes (Pr. Delbret, Dr Neveu et Dr Fumeron). On en trouve à tout petit prix en magasin bio, en pharmacie à prix nettement supérieur. Attention pour les personnes ayant des calculs rénaux, en insuffisance rénale ou pour les personnes souffrant de diarrhées et de grande sensibilité intestinale. L'échinacée de bonne qualité augmente aussi l'efficience immunitaire. En prévention, mais éviter en curatif si suspicion de Covid 19 car l'ANSES préfère éviter d'augmenter toute réaction immunitaire lors de la réaction inflammatoire.
- les huiles essentielles, notamment des complexes combinant des huiles anti-virales, d'autres renforçant l'immunité, baissant l'inflammation pulmonaire, etc, peuvent être inhalées (vapeur d'eau bouillante avec une goutte d'huile essentielle de manière répétée). Leur puissance anti-virale n'est pas si forte que cela mais combinée à des vapeurs d'eau bouillante l'agression sur les virus et bactéries est potentialisée. En prévention cet outil est puissant, en curatif il est variable notamment en fonction du stade d'infection et de la vitalité de l'individu. Les huiles essentielles de citron, tea tree, ravintsara, niaouli ou encore mandravasora (=saro) sont utilisées pour cette fonction. A noter que le journal Sciences & Avenir a relevé que l'ANSES a fait des études thermiques en mars pour trouver que l'exposition du covid 19 à 63° durant 4 minutes permettait de rendre le virus inactif.
- l'extrait de pépin de pamplemousse : attention il ne doit pas être pris avec de nombreux médicaments qu'il potentialise ou dont il diminue l'effet.
- la vitamine D et C sont très importantes pour le système immunitaire notamment en préventif. A elle seule, la vitamine D impacte plus de 50 gènes déterminants sur l'immunité biologique. Or 80% de la population française en est carencée, et les séniors encore davantage. Des études ont permis d'observer qu'une supplémentation en vitamine D aidait à traiter les infections notamment pulmonaires, et plus encore être en carence augmente considérablement le risque d'infection des voies respiratoires (ainsi que du cancer, diabète T1, de maladies auto-immunes et cardio-vasculaires, etc.). C'est un élément clé dans la force du terrain.
- le bourgeon de noisetier est un grand draineur des poumons, luttant contre toux, bronchite et sclérose pulmonaire. Il peut être une aide.
Aucun de ces produits en soi ne saurait être miraculeux car la maladie est fruit d'un effet cocktail aux multiples facteurs. Toutefois, au regard de la relative faiblesse d'intensité de la Covid 19 (qui en comparaison de nombreux virus est très contagieux, mais dont les symptômes graves restent relativement rares rapportés au nombre de personnes infectées), le terrain est déterminant pour éviter de développer des symptômes et diminuer leur sévérité.
Graphique : vaccination hépatite B (blanc) et sclérose en plaques / 100.000 hab (noir)
Raccourci vers l'onglet Conseils Produits :
Coïncidence avec le covid 19 qui a vu le monde se replier sur lui-même en mars 2020, une conjonction astronomique et astrologique était elle aussi de mise sur ce même mois : l'alignement massif et exceptionnel de plusieurs astres d'importance : Saturne + Jupiter + Mars + Pluton, tous alignés en fin de maison du Capricorne.
Cet événement particulièrement atypique est difficile à traduire en terme d'implications physiques (gravitation, ondes scalaires, etc.). Nos connaissances actuelles ne permettent pas d'en connaître les subtilités sur la vie biologique et le système nerveux. Ce que nous savons se limite essentiellement au soleil : les tempêtes géomagnétiques d'origine solaire impactent le système nerveux, corroboré par le niveau des admissions psychiatriques, par le niveau de sécrétion de mélatonine ou encore par la réaction Takata (variation de l'albumine dans le sérum sanguin) et la baisse de lymphocytes constatée par les chercheurs russes, risques très accrus de thromboses et d'infarctus du myocarde. Mais les autres astres du système solaire et leur impact sur l'humain n'ont jamais été solidement étudiés sur le plan scientifique.
Sur le plan astrologique, notons succinctement que dans la tradition Saturne représente la "matière, le conservatisme et la rigidité", Pluton représente le "changement radical & remise en question", Jupiter la "puissance, l'expansion et l'action", Mars "l'affirmation, désir et combat". La maison du Capricorne serait en lien avec une certaine forme de conservatisme ainsi que les caractéristiques de la planète Saturne. Le glissement va s'opérer par phases, suivant la vitesse des révolutions de chacune de ces 4 différentes planètes autour du soleil, pour se rendre en maison du Verseau (qui représente la "communication et les technologies"). Des astrologues en 2019 prévoyaient que mars 2020 (et la période qui suivrait) serait une période puissante où un ancien modèle serait amené à être malmené, et où l'autorité des gouvernements serait au centre des débats. Il semblerait qu'un second événement, de moindre ampleur mais dans la continuité, serait survenu autour de février 2021. La coïncidence est interprétable en fonction des systèmes de croyance de chacun évidemment.
Il est très difficile de savoir quel est le nombre réel de morts en Chine à la suite de l'infection par le Covid 19. Plusieurs choses sont sûres toutefois, nous permettant de tenter une estimation :
- la Chine a affiché des chiffres totalement fantaisistes. Au 28 janvier 2020, la Chine annonçait 106 morts officiellement sur tout le territoire qui est plus grand que l'Europe. Pourtant, au même moment, elle construisait 11 hôpitaux en quinze jours rien qu'à Wuhan pour faire face à l'afflux de malades. La République Populaire avait déjà débuté le confinement total depuis quelques jours dans tout le pays, de Wuhan à Pékin, de Shanghaï à Canton, etc. La Chine compte 1,5 milliards d'habitant. Ce qui signifie qu'elle aurait décidé d'arrêter son économie pour ainsi dire sur 2 mois pleins après à peine 100 morts enregistrés (à l'échelle de la population de la France, il faut diviser ce chiffre par 20, donc la France arrêterait-elle son économie entière après la survenue de 5 morts ?...). Quel état démocratique ou totalitaire dans le monde ferait cela ? Pour rappel, en 2002-2003, la Chine avait compté 357 morts officiellement du SRAS qui avait un taux de décès de près de 15%, soit bien plus élevé que le covid 19 ; pourtant elle n'avait pas paralysé l'économie de son pays sur 2 mois. Il a bien entendu fallu que la Chine soit face à un cas extrême, avec une rapidité de contagion bien au-dessus de ce qui est officiellement exprimé, insoluble de quelque autre manière pour littéralement sacrifier son économie des mois entiers.
- des informations ont filtré à l'insu des autorités chinoises. Une Française installée en Chine évoquait plus de 200 000 personnes malades vers la fin janvier, quand les autorités chinoises déclaraient à peine plus de 10 000 personnes infectées alors. Par ailleurs, la plus grande entreprise de pharmacovigilance chinoise, Tensen, aurait affiché sur son tableau de bord au 1er février 154 000 cas de Covid 19 confirmés et 84 000 cas suspectés ; 24 600 décès connus. Le lendemain, l'entreprise a enlevé ces chiffres et en a affiché de nouveaux, divisés par 80 à peu près (de l'ordre de 300 décès finalement, seulement). J'ai pu voir une capture d'écran du tableau du 1er février, et une du 2 février après-midi. Troisièmement, des témoignages de gens allant aux crématoriums faisaient état de plus de 300 morts traités certains jours dès fin janvier dans l'un des salons de Wuhan, plus de 600 morts / jour dans un autre salon. Sachant qu'il y a 8 salons ne serait-ce qu'à Wuhan, cela nous laisse augurer de chiffres sans commune mesure avec les chiffres officiels. Les ouvriers y auraient travailler jusqu'à 19 heures par jour pour pouvoir brûler les corps qui affluaient. Finalement, on observe que les urnes livrées aux familles dans les crématorium fin mars circulaient à un niveau industriel, les milliers succédant aux milliers. Et on a observé que des lignes téléphoniques du pays ont été supprimées à tour de bras, suggérant des décès en très grand nombre. Comment pourrait-on encore croire qu'il n'y ait eu qu'un peu plus de 3 300 morts en Chine sur les 4 premiers mois de pandémie ? A titre de comparaison, chaque année en Chine meurent des dizaines de milliers de citoyens de la grippe. Je fais aussi abstraction d'un témoignage qui m'a été rapporté début février : Neil Ferguson, devenu médiatiquement célèbre depuis mars 2020, scientifique qui a modélisé le nombre de décès dans différents pays du monde et que le Président Emmanuel Macron avait consulté autour du 20 février 2020, qui avait aussi fait renversé l'avis du Premier Ministre anglais Boris Johnson qui souhaitait initialement ne pas confiner la population, aurait tenu une conférence au moment de l'utilisation du confinement en Chine où il aurait alors émis l'hypothèse qu'en moyenne 7500 Chinois mourraient du Covid 19 par jour ; toutefois je n'ai pas assisté à la dite conférence ni vu de document vidéo confirmant cette information.
Or l'Italie a réagi tardivement, toutefois plus rapidement que la Chine qui a longtemps été frappée de déni (tout le mois de décembre et une partie du mois de janvier), puis a fini par confiner partiellement la population, avant de la confiner totalement manu-militari. L'Italie comptait 17 000 morts au 8 avril, soit 280 morts par million d'habitants. A l'échelle de la Chine cela équivaudrait déjà à 420 000 morts. Mais cette hypothèse est trop basse. En effet, la Chine est un pays où les capacités hospitalières et le système de santé sont inférieurs à l'Italie à de multiples niveaux. Les gens vivent avec une très forte promiscuité dans des mégapoles surpeuplées, des familles sur plusieurs générations vivant ensemble dans des logements communs et réduits le plus souvent, des moyens de transport saturés, et des conditions d'hygiène nettement plus basse que l'Italie. Culturellement par exemple, les Chinois ont l'habitude de cracher par terre après s'être raclé la gorge même, comme un acte d'hygiène intérieur. Le gouvernement chinois n'a eu de cesse de lutter contre ce trait culturel qui est une source de propagation de microbes. Ajoutons que la Chine a mis beaucoup de temps à réagir à la réalité épidémique. En conclusion, la Chine a raisonnablement perdu plus que 420 000 citoyens.
A l'époque de la rédaction de cet article (courant 2020) voici une projection possible du nombre de morts en Italie pour commencer, avec plusieurs hypothèses, d'ici la fin de la crise du covid 19 :
En Italie, avril 2020 et en se basant sur le nombre de personnes infectées à cette date, projetant la courbe de contamination, on pouvait envisager que la pandémie totalisera entre 23 500 morts et 38 000 morts. La réalité a été apparemment "supérieure", le ministère italien de la santé faisant état de 74 000 morts par Covid 19, mais le comptage reste délicat au regard des comorbidités et des causes profondes des décès. En France 65 000 personnes seraient décédées de la Covid 19 en 2020, mais "seulement" 42 000 si l'on enlève les mortalités qui auraient dû survenir à cause des facteurs plus classiques (vieillesse, comorbidités, etc.)
Nota : pour ceux qui ont un doute sur la manière dont agit le gouvernement totalitaire chinois, pas très éloigné des méthodes de la Corée du Nord, je vous suggère le documentaire d'Arte : Chine, la disparition des milliardaires (sur Youtube en libre visionnage jusqu'au 28 mai 2020), qui parle de la "disparition", entendez "les tortures et exécutions" de dizaines voire centaines de milliardaires en Chine, le gouvernement craignant tout contre-pouvoir que ces élites riches et puissantes pourraient générer. Un pays qui a aussi fait disparaître toute personne voulant informer sur la réalité du coronavirus..
Si l'hypothèse de 420 000 morts par le Covid 19 en Chine sur les 4 premiers mois (début décembre à début avril) en Chine est basse, plus vraisemblable est l'estimation de chiffres compris entre 435 000 morts (hypothèse qui reste "moyenne") et 675 000 décès (hypothèse "très élevée"). Toutefois, il se peut que ce soit encore davantage, peut-être dépassant le million, car le déni de la Chine face à l'épidémie et son retard dans les mesures prises, ainsi que la promiscuité dans les conditions de vie, nous laissent songeur quant à la rapidité de la propagation dans cette poudrière. Quoiqu'il en soit, par défaut, l'hypothèse élevée qui est de 525 000 morts, soit plus d'1/2 million, et 4 350 000 personnes infectées sur cette base (en gardant le ratio officieux de pharmacovigilance au 1er février, mais en réalité beaucoup plus de personnes infectées, logiquement au dessus de 15 millions d'individus), est une hypothèse par défaut.
Folle tentative d'en faire ?
A quelques pas de chez moi, se trouve une source "miraculeuse" à l'Abbaye de Grestain. Il y a 1000 ans, Herluin de Conteville, qui deviendra beau père de Guillaume le Conquérant, était atteint d'une mystérieuse maladie de peau disent certains - d'autres présument une guérison spirituelle. Une nuit, lors d'un songe, la légende dit que la vierge Marie lui présenta une fleur de lys. Elle lui désigna l'existence d'une source qui le guérirait et où une chapelle lui avait été consacrée, alors en ruine. S'il la rénovait, y mettait un clerc pour l'office, puis y créait une abbaye, il guérirait. Il fit comme il lui avait été demandé et guérit. Plus tard, Robert le Magnifique, père de Guillaume, périt lors de son pèlerinage en Terre Sainte, et Herluin épousa la belle Arlette, veuve et mère de Guillaume.
Des physiciens, des chimistes, des chercheurs ont essayé de comprendre la nature de ces eaux miraculeuses (Louis-Claude Vincent pour la chimie, Jacques Benvéniste pour la mémoire ondulatoire, Emoto pour la mémoire structurelle, Luc Montagnier prix Nobel et co-découvreur Sida pour les ondes électromagnétiques, etc.) sans lever totalement le mystère, qu'il soit psychique, vibratoire, spirituel ou autre. Toutefois, je me suis posé la question de quelle eau je pourrais disposer chez moi, en m'inspirant des différentes techniques. Voici une première approche : eau ultra filtrée pour éliminer les polluants de tout ordre (fontaine Elita Pure) + ionisée pour casser l'agglomération des molécules (idem) + hydrogène moléculaire (idem) + polarisée négativement pour sa réaction électrique avec les cellules (aimant néodyme) + une cuillère à café d'argile / 1L d'eau pour minéraliser et informer + 20ml Plasma Marin Hypertonique / 1L pour oligo-éléments et l'information biologique matricielle + Plocher Kat pour structure de l'eau + 5 gouttes de l'élixir floral andin d'Araucaria pour informer sur le plan vibratoire - par exemple, mais d'autres possibilités. L'idée est de tenter de se rapprocher d'une eau soutenant la vie biologique véritablement, plutôt qu'une eau dénaturée, polluée, qui coûte à l'organisme et ne soutient que peu le vivant comme nous la trouvons malheureusement aujourd'hui. Même l'eau en bouteille est passée aux rayons, contient des particules plastiques émises par l'emballage, et par stagnation a changé de structure moléculaire. L'eau constitue en moyenne 75% de notre corps. Louis-Claude Vincent, qui avait comparé les analyses de l'eau de nombreux lieux avec les pathologies prédominantes des populations locales, estimait que notre eau contemporaine était l'un des grands facteurs des pathologies de civilisation, mais que le phénomène était moins voyant, plus lent que pour des virus ou bactéries présents dans l'eau car l'eau affectait notre terrain progressivement.
Coïncidence et jeu de mots, c'est Saint Vital qui laissa le rouleau attestant qu'Herluin et Arlette reposent en paix à l'abbaye de Grestain encore aujourd'hui.
L'Abbaye de Grestain est ouverte en accès libre au public. Lieu magique, situé près d'Honfleur et de l'estuaire de la Seine, dans un vallon boisé.
L'histoire de la grippe espagnole comporte des trous mystérieux, et son taux de décès fut le fruit d'une conjonction de facteurs dont certains (humains) peu connus du grand public. Petit résumé qui explique que nous ne connaîtrons vraisemblablement plus jamais d'épidémie aussi terrible pour l'humanité.
En période de guerre, lorsque le virus arriva au printemps 1918 en France (on en trouve des traces dans un camp militaire américain dès l'hiver-printemps 1918, et l'Institut Pasteur considère que son virus père venait des environs de Canton en Chine et transita par Boston, probablement d'origine aviaire), le gouvernement a d'abord choisi de ne pas communiquer sur l'épidémie. Il s'agissait de ne pas baisser le moral des troupes comme de la population, déjà abattues par cette guerre effroyable et sans fin. La propagande a ainsi joué dans le délai de mise en place de mesures sanitaires. Pour la seule ville de Paris, on a pu recenser plus de 500 morts par jour parfois par la grippe espagnole. Dans le monde cette grippe emporta entre 50 et 100 millions de vies. La 1ere guerre mondiale a tué près de 18 millions d'individus, et la seconde 60 millions, à titre de comparaison. Rien n'avait été vécu de comparable depuis la grande peste du 17e siècle. En France, sur 8 mois, elle fit autant de morts chez les militaires français que de morts lors des combats. Une chose est sûre, elle fut un enjeu de communication important et a précipité la fin de la Grande Guerre car les Allemands furent très durement touchés aussi. L'Asie paya le plus cher tribut.
Pourtant, on ne retient bien souvent qu'une cause à cette calamité : l'hypothèse d'une mutation du virus H1N1 au cours de l'été-automne, rendant le virus particulièrement virulent. Si cette hypothèse est très vraisemblable, nous allons voir que plusieurs autres facteurs, dont certains improbables, ont participé d'enfler considérablement l'épidémie.
Les carences alimentaires, la pauvreté et les écarts avec l'élite des pays, la fatigue, les conditions d'hygiène, les croyances et la culture de chaque pays a joué considérablement. En effet un organisme affaibli devient la proie des microbes et certaines pratiques que l'on croit justifiées deviennent dévastatrice en cas d'infection.
Par exemple, la médication peut être à double-tranchant si elle est mal utilisée. Le terrible cas de la grippe espagnole en est l'archétype. En 2009, un article scientifique publié par Karen Starko dans Clinical Infectious Diseases à la suite d'autopsies sur des corps de personnes décédées de la grippe espagnole en 1918 relate une découverte inattendue. A la fin de la Grande Guerre, l'aspirine était arrivée sur le marché depuis quelques années et semblait un remède miracle, à la fois pour combattre la fièvre, la douleur, et comme fluidifiant sanguin. Une aubaine pour combattre de nombreuses infections dont la grippe pensait-on. Ce médicament qui semblait génial cachait aussi un revers : mal utilisé, il est puissamment toxique pour le foie, voire génère de graves complications pulmonaires avec l'accumulation de fluides dans les bronches. Même en respectant la posologie, les enfants fiévreux peuvent subir une intoxication, si bien que de nos jours les médicaments à leur attention utilisent bien davantage le paracétamol. A l'époque, la saine posologie (max 2-3g / jour sur une durée de 3-5 jours) était inconnue, et le surdosage était tristement de mise. Or la grippe est justement très dangereuse dans sa complication pulmonaire. La combinaison des deux peut devenir puissamment mortelle. Au regard des autopsies, l'étude conclut que la toxicité de l'aspirine mal utilisée peut avoir significativement contribué à la sévérité des symptômes, à l'apparition d'infections bactériennes et à la forte mortalité de la grippe espagnole à l'époque ! Près d'1 autopsie sur 2 a révélé des poumons spongieux dus à des complications directement en lien avec la prise d'aspirine en surdosage. Rappelons les autres "traitements" utilisés contre la grippe espagnole alors : le rhum (Paris en fit venir 500 hectolitres pour combattre la grippe en guise de "fortifiant", on en donnait aussi aux Poilus dans les tranchés pour combattre le virus), la saignée, les tentatives expérimentales de sérum en prenant des pneumocoques et streptocoques et en les réinjectant sur les malades (la technique de vaccination et de sérum était très mal maîtrisée au moins jusqu'à la deuxième guerre mondiale, d'autant que nous n'utilisions pas d'embryons humains à l'époque mais du sérum extrait du cheval, aussi peut elle avoir contribué à l'affaiblissement des malades et au développement infectieux, voire à la maladie sérique et à des réponses allergiques ou auto-immunes qui génèrent encore de nos jours de farouches opposants à tout ou partie des vaccinations contemporaines), la quinine (antipaludique cousin de la très actuelle chloroquine qui fait l'objet de recherches pour traiter le covid-19), le bleu de méthylène (qui n'a pas d'efficacité sur la grippe), l'injection intraveineuse d'argent et or colloïdal (substances toujours appréciées aujourd'hui de certains adeptes pro-naturel), ainsi que l'abcès de fixation (injection d'essence de térébenthine le plus souvent pour générer volontairement un abcès qui va faire réagir le système immunitaire ; cette technique a été améliorée plus tard par le médecin allemand Friedman qui a créé un vaccin contre la tuberculose à partir d'un bacille prélevé sur des tortues de mer, technique encore utilisée par de rares médecins qui prétendent obtenir des résultats hors normes sur les gamma globulines et de facto sur les maladies auto-immunes comme polyarthrites et scléroses en plaque avec une unique injection selon leur dire), finalement notons que les antibiotiques n'étaient pas encore opérationnels pour éviter les complications par surinfection.
Moralité, les remèdes peuvent s'avérer salutaires mais aussi parfois peuvent ils empirer tragiquement le mal. Toutefois cette épidémie fut un laboratoire à ciel ouvert et permit des avancées aussi sur le plan politique puisqu'elle déboucha sur la création d'une organisation pour la santé par la Ligue des Nations dans les années 20, qui n'est autre que l'ancêtre de l'OMS.
Arthur Conan Doyle arrêta d'écrire des fictions à la suite de la perte de son fils par la grippe espagnole. Edmond Rostand et Guillaume Apollinaire y perdirent aussi la vie. Il est difficile d'évaluer aujourd'hui l'impact que le Covid 19 aura sur le monde de demain, mais même s'il ne le révolutionne pas, il est certain qu'il ne restera pas un épiphénomène.
Il y a deux écoles : ceux qui prétendent que la 5G n'a pas plus d'inconvénient pour la santé que la 4G, la 3G et consorts, et ceux qui prétendent exactement l'inverse.
D'un côté, la 5G est officiellement déclarée comme ayant certes un impact pour la biologie, mais impact insuffisant pour être jugé dangereux, d'après les organismes officiels comme l'ICNIRP (comité international de protection contre les rayonnements non ionisants).
Autre bord, des centaines de scientifiques avaient demandé un moratoire fin 2017 sur la 5G faute d'études indépendantes suffisantes. De surcroît, les effets ne sont pas toujours visibles sur du court terme mais sur des années voire une dizaine d'années. La Suisse, qui devait être le premier pays occidental à s'équiper en 5G, a décidé en février 2020 de reporter indéfiniment ses directives de déploiement dans l'attente d'études suffisantes sur les effets, donc va rester à la 4G pour le moment, à la suite d'une contestation populaire sans précédent.
En cause, certaines études démontreraient que cette technologie va amener à la construction de très nombreuses antennes beaucoup plus proches que celles que nous connaissons actuellement, mais aussi de très nombreux objets du quotidien seront émetteurs (frigo, machines à laver, ordinateurs, tel, montres, voitures, objets connectés diverses, etc.), et vont avoir un impact sanitaire grave et avéré selon eux. Une étude américaine officielle du NTP (National Toxicology Program) sur 10 ans qui a coûté pas moins de 30 millions de dollars, première du genre, montre une augmentation nette du nombre de cancers du cerveaux et du coeur sur des animaux qui ont été exposés à des ondes électromagnétiques radiofréquences. -Vous trouverez dans un lien ci-dessous le "résumé" sur le site europeanscientist mais avec les conclusions inverses (!), soutenant qu'il n'y a aucun lien avec les cancers. Comment est-ce possible ? Volonté d'intox ? A vous de juger.
La multiplication des antennes et objets émetteurs serait problématique en plus de la palette d'ondes utilisée plus large. Cela serait corroboré par de nombreuses études à comité de lecture sur le danger des radiofréquences sur l'humain. Le CIRC (organe de l'OMS chargé d'étudier les facteurs de cancérisation), estime aussi que les radiofréquences de 30KHz à 300GHz sont à risque. L'EUROPAEM-EMF 2016 est plus catégorique, exprimant sans ambiguïté : "Des études, des observations empiriques et des témoignages de patients indiquent clairement des interactions entre l'exposition aux ondes EM radiofréquences et des problèmes de santé". Elle évoque des "preuves fortes de risques de développer des cancers, mais aussi Alzheimer ou encore l'infertilité masculine". L'ANSES déplore de son côté une quasi-absence d'études avant de déployer ce système en France.
Une chose est certaine, en Angleterre par exemple, les tumeurs cérébrales n'ont pas augmenté de manière spectaculaire entre 1995 et 2015, toute proportion de population gardée - premier graphique. Pourtant, le nombre de tumeurs agressives de haut grade (3&4) ont été multipliées par 2 sur la même période en Angleterre par exemple, tandis que les cancers de moindre agressivité ont baissé en proportion. Donc des conséquences plus dramatiques. Le second graphique de l'article montre que les tumeurs frontales et temporales sont en nette croissance sur 10 ans seulement avec l'apparition des téléphones portables au Royaume-Uni. Et que dire de l'infertilité, l'autisme, l'hyperactivité, etc., sont en très fortes augmentation sans qu'aucune campagne de prévention ni d'intervention ne soit menée. Mais nous ne sommes pas capables d'isoler les causes dans les statistiques (radio-fréquences ? toxiques alimentaires ou autres ? Etc.), et les études sur ces questions ne font pas le poids au regard des considérations économiques d'après une frange des chercheurs et de la population. Les Etats gagneraient des sommes colossales en vendant les bandes de fréquence aux enchères aux sociétés de télécommunication, elles-mêmes générant des milliards qui sont ensuite taxés par l'impôt. Cette question deviendra vraisemblablement encore plus aiguë lors de l'avènement de la 6G d'ici 10 à 15 ans semble-t-il. Vous trouverez dans le menu Conseils Produits des informations et un lien vers un produit de la marque Plocher qui amenuiserait l'impact biologique des radiofréquences d'après son fabriquant, ainsi qu'un pendentif anti-smog Plocher.
La question de la vaccination n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre. En préambule, on peut observer synthétiquement qu'il semblerait que la technique de vaccination apporte un intérêt dans de nombreux cas, mais que dans d'autres l'intérêt est plus contestable voire s'avère néfaste (risques > bénéfices), trop meurtrier ou générant beaucoup trop d'effets secondaires graves, comme certaines études officielles ont pu le démontrer. La désinformation est au coeur du tri que nous allons essayr d'opérer dans cet article copieux. L'OMS, Bill Gates, les firmes pharmaceutiques et des intérêts mercantiles sont au coeur de cette enquête délicate. Mais il existe aussi des idéologies opposées, anti-vaccins par dogmatisme, ne cherchant pas à analyser les données de manière équitable et à creuser les informations avec fiabilité. Espérons que nos gouvernements saurons se départir des puissants lobbys qui falsifient les données et opèrent trop souvent un dramatique impérialisme sanitaire. Efforçons-nous de rester impartiaux, sans préjugés et cohérents dans nos recherches afin de ne pas orienter dans un sens ou dans l'autre notre regard sur cette question déterminante. Puissions-nous avoir des études indépendantes et non manipulées pour savoir utiliser la technique de vaccination lorsqu'elle est saine et légitime. La première étude que nous aborderons pour en donner la teneur, datée de 2017 et signée de grands experts internationaux, a été révélatrice des politiques de désinformation sur plusieurs décennies qui pourraient être qualifiées de crime contre l'humanité.
L'OMS a été désavouée dans sa gestion de la crise du covid 19 par Donald Trump, alors même qu'elle était au coeur de scandales de corruptions notamment en lien avec la vaccination (Ebola, Tuberculose, Papillomavirus, etc.) ainsi qu'avec la fondation de Bill Gates et de son épouse. Ces histoires récentes ne seraient que la partie émergée de l'iceberg. Le sujet est particulièrement "riche" (c'est le cas de le dire) et complexe comme vous allez le voir. Nous allons aborder la question actuelle de la vaccination, de la fondation de Bill Gates et de l'OMS, puis nous reviendrons sur l'historique et les arguments des pro et anti-vaccins qui s'opposent depuis plus d'un siècle déjà.
L'OMS, dont les bases furent jetées après la Première Guerre Mondiale, a changé de cap à partir des années 1990, en n'étant plus seulement financée par des contributions obligatoires des Etats, mais aussi par des grandes entreprises, des firmes pharmaceutiques et des fondations (dont celle de Bill Gates) ainsi que des contributions libres d'Etat souhaitant y avoir plus de poids. Or, le co-fondateur de Microsoft a de nombreux intérêts dans le monde pharmaceutique et les biotechnologies. Sa Fondation, sensée être "philanthropique", est actionnaire de très grandes firmes pharmaceutiques et de biotechnologie (rien de moins que Takeda, Pfizer, Teva, Novartis, Merck, etc.) et s'appuie sur un trust financier créé par Bill Gates qui a investi dans l'armement, les énergies fossiles, Monsanto et ses OGM, les firmes pharmaceutiques, Coca-Cola ou encore Mac Donald, dont il est actionnaire et retire des dividendes, de plus il les aide à conquérir leurs marchés et évite que les peuples trouvent des solutions naturelles, autonomes ou naturelles (voir lien ci-dessous le paragraphe vers le journaliste et auteur Lionel Astruc qui a publié un ouvrage sur le système de cette Fondation, de son trust économique et financier). Il s'agit d'un impérialisme économique multi-sectoriel qui a permis à Bill Gates d'augmenter considérablement sa fortune ces dernières années. La part de la contribution imposée aux Etats se limite désormais à 1/4 du budget de l'OMS, les 3/4 restant de son budget est donc fourni par la bonne volonté (et les intérêts) des acteurs que sont les firmes, labo, fondations, etc. L'indépendance de l'OMS n'est donc plus de mise depuis les années 90. Si les Etats-Unis restaient le premier contributeur jusqu'à avril 2020, Donald Trump a décidé d'arrêter la contribution à cause dit-il de l'inefficacité de l'OMS dans l'affaire du Covid 19 et de ses conséquences. A l'heure où cet article a été rédigé, le premier contributeur de l'OMS n'est autre que la Fondation Bill Gates (très loin devant l'Europe), puis une firme pharmaceutique, des Etats et autres firmes venant ensuite. Or, les "généreux" donateurs décident à quoi leur argent va être utilisé par l'OMS : campagne de vaccinations, etc. Autant dire que non seulement les campagnes de l'OMS sont désormais dictées par ses contributeurs, mais même que l'indépendance intellectuelle et morale de l'OMS a tout lieu de poursuivre sa chute inexorable. D'ailleurs, sous le mandat de Mme Brundtland à la tête de l'OMS, l'organisation a tendu à considérer de moins en moins la santé comme un droit fondamental, mais comme un outil au service de la croissance économique d'après les observateurs. En 2004, le H5N1 avait permis aux labo de produire des centaines de millions de vaccins en prévention sous la forte demande de l'OMS (140 décès dans le monde). Excès de prudence ou légitimité ? En 2009-2010 c'est la grippe A H1N1 qui toucha surtout l'Asie et l'Afrique et permis aux entreprises pharmaceutiques de réaliser des milliards de bénéfices. Il est toujours très difficile d'évaluer la pertinence des campagnes, l'indépendance de l'OMS dans ses conseils, comme avec le Covid 19 où Taïwan avait alerté l'OMS dès décembre des forts risques de contamination de ce nouveau virus et où l'organisation n'aurait guère réagi semble-t-il, sous l'influence de la Chine selon les dires du Président Donald Trump. Rappelons que l'alerte pandémique a été donnée par l'OMS le 11 mars 2020, mais il est possible aussi d'arguer que c'est l'opacité de la Chine et son double-langage qui ont conduit à ce dramatique retard.
Impossible n'est pas OMS, l'étude Morgensen et al de 2017 sur la large vaccination DTC (DTP en anglais car coqueluche se dit pertussis) a démontré à la surprise générale les ravages de la vaccination dans les pays pauvres, pire qu'avant la vaccination. Pourtant cette étude a été opérée par les plus grands spécialistes internationaux et sur commande des instances internationales. Son titre - ici traduit - est clair : "L'évidence de l'accroissement de la mortalité après l'introduction du vaccin DTC sur les enfants âgés de 6 à 35 mois en Guinée-Bissau"
Bill Gates, l'OMS et GAVI ont mis cette campagne au centre de leur action internationale depuis des décennies. Mais des gouvernements d'Europe du Nord, un fabricant de vaccin nommé SSI et des investisseurs ont commandé une étude auprès d'experts internationaux reconnus afin de constater les effets présumés bénéfiques de campagnes de vaccination principales. Etude par méta-analyse dirigée par les docteurs S. Morgensen et P. Aaby. Et, stupeur, la méta-analyse de 2017 rend compte que le vaccin n'a jamais augmenté l'espérance de vie des enfants vaccinés par rapport aux non-vaccinés, c'est exactement l'inverse qui s'est produit, remettant en question la justesse de cette politique de l'OMS débutée depuis... les années 80 et qui a toujours cours. En Guinée-Bissau, où beaucoup d'enfants meurent avant l'âge de 5 ans, on a procédé à la vaccination de nombreux enfants à 3-5 mois ou à 6-35 mois au tout début des années 80. Or, d'après l'étude, les enfants vaccinés sont décédés dans des proportions 2 fois supérieures aux enfants non vaccinés (les filles surtout). Et c'est encore pire pour d'autres catégories d'enfants où on atteint un taux de décès 5 fois supérieur chez les enfants vaccinés par rapport aux non-vaccinés. Non seulement c'est tragique pour la Guinée-Bissau, mais sous l'impulsion de l'OMS et des firmes pharmaceutiques, le DTC est devenu le vaccin le plus répandu dans les pays pauvres sur toute la planète. Et en Afrique, l'OMS pourrait sanctionner financièrement les Etats qui n'accepteraient pas les campagnes de vaccination, ce qui laisse songeur quant à la légitimité de cette organisation affiliée à l'ONU.
Et voici que les déclarations de l'avocat et personnalité démocrate américaine Robert F. Kennedy Jr. sur son compte Instagram le 9 avril 2020 viennent accuser radicalement l'OMS ainsi que la Fondation de Bill Gates pour ainsi dire de crime contre l'humanité dans plusieurs autres scandales de vaccination en Inde et en Afrique notamment. Cette célèbre personnalité américaine, qui a déjà réussi l'exploit historique de gagner le premier procès contre la firme de produits chimiques Monsanto (productrice du Round Up - glyphosate, mais aussi de la majorité des OGM de la planète, etc.), est partisan d'un lien entre l'explosion de l'autisme et la vaccination (1 enfant sur 50 en 2014 contre seulement 1 à 4 sur 15.000 enfants trente ans plus tôt, d'après Adelle Jameson Tilton et Charlotte E. Thompson ; la fédération de l'autisme parle quant à elle du passage de 1/5000 personnes à la fin des années 1970 contre 1/62 personnes en 2014, ce qui attesterait d'une évolution dramatique dont la cause reste inconnue à ce jour, la preuve de son lien avec la vaccination étant controversée), même si la notion d'autisme a évolué dans le temps et son périmètre de même.
L'avocat estime que les intérêts de Bill Gates dans le monde de la santé aujourd'hui lui offre une position de "contrôle dictatorial". Par exemple, Bill Gates, promettant d'éradiquer la polio en Inde, aurait pris le contrôle du Conseil Consultatif National dans le pays et aurait imposé 50 vaccins par enfant contre la polio, au lieu de 5 initialement, le tout avant l'âge de 5 ans. Mais en 2017 le gouvernement indien aurait chassé Bill Gates du Conseil, au motif d'une explosion de la polio depuis la vaccination qui l'aurait inoculée : pas moins de 496.000 enfants ainsi vaccinés se seraient ainsi retrouvés paralysés, un véritable scandale humanitaire. Le taux de nouveaux enfants paralysés a fortement chuté dès l'arrêt de la vaccination. L'OMS aurait reconnu en 2017 que l'explosion mondiale de la polio serait bien due à la souche vaccinale. Une estimation aurait évalué au 3/4 le nombre de polio dans le monde des conséquences de la vaccination de Bill Gates. Comme vous allez le voir ci-après, ceci ne serait qu'un scandale sanitaire parmi d'autres dans lesquels Bill Gates et l'OMS ont été les protagonistes.
En 2014, la Fondation de Bill Gates aurait financé des vaccins expérimentaux produits par GSK et Merck contre le Papillomavirus. 23000 jeunes filles de populations reculées et parfois tribales de l'Inde auraient servi de cobayes. De l'ordre de 1200 filles auraient développé des effets secondaires gravissimes, notamment maladies auto-immunes et infertilité. On relève aussi plusieurs mortes. De plus, on a relevé des pratiques d'intimidation auprès des familles pour contraindre à la vaccination, des falsifications des formulaires de consentement, ou encore un manque d'accès aux soins lors d'effets secondaires. Le scandale fuita et l'affaire remonta devant la Cour Suprême de l'Inde qui devra statuer.
2010 annonça l'essai d'un autre vaccin expérimental contre la malaria cette fois-ci, par la firme GSK, toujours financé par la Fondation de Bill Gates. L'essai fut réalisé sur un peu plus de 5000 enfants. Plus de 150 nourrissons auraient péri et plus de 1000 auraient développé des paralysies, de l'épilepsie, des convulsions fébriles, ou autres graves effets.
Dans le méli-mélo d'informations, certaines sont sujettes à caution. Voici par exemple une information qui trouva écho parmi les milieux complotistes : en 2010 Bill Gates aurait promis de verser 10 milliards de dollars à l'OMS en promettant de réduire la population, en partie grâce à de nouveaux vaccins (information qui ne semble s'appuyer sur rien si ce n'est une rumeur, d'autant que de tels vaccins sont connus depuis des décennies). En 2014 l'association des médecins catholiques du Kenya a accusé l'OMS de stériliser des millions de femmes contre leur consentement en prétextant inoculer un anti-tétanique. Le procédé ? Une campagne de vaccination uniquement sur les femmes fécondes (14-49 ans), ajoutant l'hormone Beta HCG dans le vaccin (comme cela aurait déjà été pratiqué au Mexique, Nicaragua et aux Philippines dit l'association), de sorte que combiné à l'anatoxine tétanique il génère un anticorps contre le HCG de la femme provoquant la stérilité. L'Etat du Kenya a démenti de même que l'OMS, arguant que les femmes du Kenya étaient très touchées par le tétanos. Pourtant, outre le fait qu'aucune alerte épidémique sur le tétanos n'avait été déclarée, que d'autres maladies y prévalent, le médecin W. Ngare représentant l'association aurait fait des prélèvements sur 6 vaccins, et y aurait trouvé systématiquement l'hormone Beta HCG (mais il aurait utilisé des tests de grossesse, ce qui expérimentalement ne serait pas adapté se défend l'OMS), démontrant la volonté de stériliser les femmes à leur insu, argumenta l'association. L'OMS aurait bien déjà fait des tests consentis dans les années 80 sur un tel type de vaccin (qui selon elle serait réversible, ce qui serait vrai s'il n'y avait pas de rappel), mais dément une utilisation de masse et non consentie. La question de la fertilité est hautement sujette aux thèses, info, intox, dans l'esprit des citoyens notamment d'Afrique et dans l'esprit religieux. Les thèses complotistes sont aussi nombreuses et il est parfois difficile de distinguer le vrai du faux. Quoi qu'il en soit d'autres pays ont réagi à la suite de ces allégations et ont stopper leurs campagnes de vaccination.
En revanche, l'information qui va suivre remet en cause encore une fois la manière d'agir des firmes, ici sans foi ni loi.
La campagne de MenAfriVac en 2002 en Afrique Subsaharienne, financée par la Fondation de Bill Gates, a permis de vacciner de force plusieurs milliers d'enfants contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants auraient développer une paralysie. Sans compter les autres troubles. Coïncidemment, le roman La Constance du Jardinier, de John Le Carré sorti en 2000 et qui donna lieu au film éponyme très récompensé avec Ralph Fiennes et Rachel Weisz pour acteurs principaux, relate l'histoire d'essais vaccinaux cachés ou non éthiques ou en échange d'aliments par des firmes pharmaceutiques, assassinant les membres d'ONG qui menacent de révéler leur exactions. Ce livre s'appuierait sur des faits réels antérieurs survenus au Nigéria, où les tests "sauvages" et grandeur-nature d'antibiotiquesproduit par Pfizer (dont la Fondation de Bille Gates est actionnaire) ont entraîné morts d'enfants, surdités, lésions au cerveau et paralysies, dans des proportions très importantes. Plusieurs procès en ont découlé. Une formulation utilisant la même molécule de base, Trovafloxacine, a ensuite été autorisée en Europe, mais des décès et graves maladies hépatiques ont abouti à son interdiction. A noter que Pfizer disait avoir obtenu l'accord oral des familles nigériennes pour la vaccination des enfants, et ceci même si le gouvernement nigérian n'avait jamais donné d'autorisation officielle à la firme d'administrer ces antibiotiques. L'Etat nigérian réclama 7 milliards de dollars de dédommagement à Pfizer, l'Etat de Kano en demanda 2,75, pour avoir tester des médicaments sous prétexte d'apporter une aide humanitaire. Au bout d'une longue médiation, l'Etat de Kano s'accorda avec Pfizer sur 75 millions de dollars seulement (à partager entre les populations et l'Etat...), et Pfizer y construira un hôpital. Mais, quelques mois plus tard, les dossiers des médicaux des victimes avaient mystérieusement été égarés alors que Pfizer avait donné 10 millions de dollars à l'Etat de Kano, finalement.
Le site Wikileaks dévoilera un an plus tard que du chantage et de la corruption auprès du Procureur Général avait suffit à la firme pour clore la question avec l'Etat nigérian, d'après des documents de l'Ambassade américaine, puis relayés par le journal The Gardian notamment. - Nota : Wikileaks, site web spécialisé dans le dévoilement d'affaires d'Etat, corruption, etc, a été traqué de multiples manières par les USA surtout, qui a aussi bloqué les paiements vers son site pour lui couper les vivres en 2011. Wikileaks trouvera la parade. Informa en 2015 que 3 Présidents de la République française ont été espionnés par la NSA. Julian Assange, l'un des 9 fondateurs de Wikileaks et figure de proue, est arrêté à l'ambassade d'Equateur en avril 2019 et incarcéré, risquant 175 ans de prison. -
Relatif au mensonges et aux théories du complot, voici un cas d'école qui engage des médias français dans les liens qui suivent, et qui nous laisse songeur. En 2018 le gouvernement philippin engageait des poursuites contre 6 hauts responsables de Sanofi Pasteur pour "négligence grave ayant entraîné la mort". Sanofi avait lancé une opération de vaccination contre la dengue dans le pays en 2016. Mais en novembre 2017, une étude menée à l'université de Manille montrait que le vaccin présentait un intérêt pour les personnes ayant déjà été contaminées, en revanche s'avérait dramatique pour les personnes qui n'avaient jamais été contaminées. Lorsqu'elles sont en contact avec le virus alors qu'elles ont été vaccinées, les symptômes de la dengue sont au contraire renforcés... Lorsqu'on connaît la puissance de la dengue, cela a inévitablement conduit à des décès et des séquelles dont a pu témoigner le gouvernement philippin. Or le vaccin aurait été administré à 875.000 enfants. Un vent de panique a traversé le pays, et le vaccin Dengvaxia a été suspendu par le gouvernement le 1er décembre 2017 aux Philippines qui a accusé Sanofi d'avoir "activement fait la promotion du produit en dépit de la connaissance des risques associés au vaccin". De plus Sanofi n'aurait pas porté assistance aux victimes ni à leur famille lors des complications, et n'aurait pas observé activement les résultats de vaccins dans la population, ce qui est aussi reproché par le gouvernement philippin. L'article de France Info dit que Sanofi a "toujours contesté tout lien de causalité entre ces décès et son vaccin". La source France Info a son importance comme vous allez le voir.
C'est là que le sujet devient vraiment stupéfiant. Un article d'allodocteurs.fr, reprenant l'Agence France Presse, donne une information totalement inverse et redore le blason éthique de Sanofi. Cet article annonce à l'inverse que ce serait Sanofi qui aurait décidé unilatéralement de "déconseiller" aux Philippines son propre vaccin Dengvaxia en décembre 2017 à la suite de ses propres "travaux" en automne, le gouvernement des Philippines n'ayant pourtant constaté aucun cas grave dit l'article. Et d'ajouter que Sanofi avait travaillé 20 ans sur la question et prévoyait une perte sur le stock de 100 millions d'euros, de plus aurait investi 1,5 milliards d'euros sur cette période. Sanofi n'aurait donc pas hésité à faire une croix sur ses investissements pour le bien de la communauté, suggère l'article. Mais, la référence de l'étude faite par Sanofi renvoie à un papier du 24 novembre 2017 publié dans Journal of Clinical Epidemiology ; si vous être anglophone et que vous vous penchez sur cette étude sibylline, vous verrez que celle-ci est nébuleuse, manquant de faits déterminants, données concrètes, sans compter les dates contradictoires (les parties 2 et 3 de l'étude dateraient du 3 janvier 2018, soit bien après fin novembre 2017). A vous de vous forger votre propre avis entre ces déclarations opposées.
Les informations qui vont suivre s'appuient essentiellement sur le rapport parlementaire suivant et le graphique ci-contre :
exercice de prestidigitation ?
Il est impossible d'avoir des données fiables sur l'évolution de l'hépatite B en France depuis les années 60. Vous trouverez des informations sur l'évolution depuis les vaccinations (1981 pour les professionnelles, et campagne de 1994 pour les écoles). Ce qui nous empêche d'évaluer l'évolution "naturelle", hors vaccin (baisse de l'alcoolisme, alimentation, etc.). Pourquoi ne trouve-t-on pas des données plus complètes ?
Ci-contre et dessus, l'évolution des cas d'hépatite B aux USA pour les enfants < 10 ans, que l'on a fait coïncider (?) avec la vaccination des enfants d'1an 1/2 - 3 ans. On pourrait croire que la vaccination est bénéfique. Mais, comment expliquer qu'en 1993 où seuls 10-15% des enfants de 1-3 ans ont été vaccinés, on a observé la chute spectaculaire de l'hépatite B chez les moins de 10 ans sur 3 années (dont une partie avant la campagne de vaccination), passant de 90% à 50% par rapport à 1990 ? Une baisse de près de 40 % ? On ne peut pas mathématiquement l'imputer qu'à la vaccination, à fortiori car elle n'agit qu'en décalé dans le temps, les bénéfices auraient dû arriver plus tard, à l'inverse du graphique.
De plus, sur le deuxième graphique à gauche relatif aux nombre de cas d'hépatites B aux USA avec l'arrivée du vaccin, on se demande vraiment s'il y a un rapport entre cas reportés et vaccin tant l'évolution suit un cycle plus vaste.
Finalement, 3e graphique, le nb de morts par hépatite B aux USA était le même en 2001 qu'en 1991, soit 10 ans après la grande campagne de vaccination de 1991 chez les enfants. L'efficacité de ce vaccin y semble incertaine.
Ci-dessous, évolution du nombre de sclérose en plaques / 100.000 hab (noir) et vaccination hép B (blanc) en France.
La question de l'hépatite B est très délicate car officiellement à l'heure actuelle il n'y a pas de lien véritable de sa vaccination avec la sclérose en plaques. Citation du rapport de l'Assemblée Nationale 3043, de mai 2001, s'appuyant sur le communiqué du 6 mars 2000 (réunions d'experts) : "Le réexamen des données tant épidémiologiques qu'issues de la notification de pharmacovigilance ne permet pas de conclure sur l'existence d'une association entre la vaccination contre l'hépatite B et la survenue d'atteintes démyélinisantes ou d'affections auto-immunes."
Pourtant, alors que jusqu'à 1994 nous connaissions un taux de 5,5 cas de sclérose en plaques sur 100.000 hab de manière stable chaque année, à la suite de la campagne de vaccination dans les écoles ce taux a bondi à 8 cas /100.000 hab dès 1998-1999 en France où la campagne a été suspendue par le ministre de la santé Bernard Kouchner, pris de doutes.
Le même rapport parlementaire constatait pourtant la politique de mensonges et de propagandes menée : "La volonté de « faire peur » sur les risques de contracter l'hépatite B a sans doute été l'un des vecteurs de cette campagne comme le prouve une certaine exagération des données médicales ; les documents officiels de la campagne parlent ainsi de 2 millions de morts par an dans le monde, alors que l'OMS les estime à 1 million, et de 30 000 à 100 000 le nombre de nouveaux cas en France alors que le réseau Sentinelle estimait ce nombre à 8 000 en 1994". Et d'ajouter : "Suivant leurs impératifs d'une stratégie marketing optimale, les laboratoires pharmaceutiques contribuèrent à renforcer la teneur alarmante de ces messages sanitaires ; un document interne de l'un d'entre-deux d'août 1996 souligne ainsi qu'il faut, à l'égard des adolescents, « dramatiser le danger, le risque encouru à ne pas se faire vacciner » et faire de la vaccination « un rite initiatique moderne de passage à l'âge adulte, une sorte de passeport pour les premiers baisers. »" Ou encore : "A ce sujet, la présentation d'un risque de transmission de la maladie par la salive a été sans doute abusivement utilisé. Les documents officiels font état d'un doute en la matière." Puis le rapport parlementaire s'interroge : "Qu'est-ce qui a justifié le lancement d'une politique de vaccination massive qui a touché, par son ampleur et sa teneur, l'ensemble de la population, toutes classes d'âge confondues, alors que la France n'était qu'un pays de faible prévalence de la maladie et qu'une stratégie vaccinale plus ciblée aurait peut-être suffi ?" Finalement : "Quelles que soient les réponses à ces questions, force est de constater qu'elles illustrent, une fois de plus, l'extrême faiblesse du dispositif épidémiologique français qui fait figure de « parent pauvre » de la politique de santé publique dans notre pays, alors même qu'il devrait en être l'un des piliers pour en guider les choix et les moyens." Le premier pas est d'en avoir conscience, n'est-ce pas ?!
Pourtant, le rapport parlementaire reste placide concernant les liens entre la vaccination contre l'hépatite B et les maladies évoquées (sclérose, myophacite à macrophage, maladies auto-immunes, allergies, etc.) : "Seize thèses en médecine ont conclu à l'existence d'un lien entre le vaccin et certaines maladies mais il manque des études indépendantes des laboratoires pharmaceutiques, notamment au niveau épidémiologique." Ajoutent les députés, et pourtant contradictoirement : "l'indemnisation des victimes doit être mise en oeuvre". Qui parlait de logique ?
A ce propos, Bernard Kouchner, dans le doute, et trouvant la vaccination généralisée inadaptée, suspendit la campagne dans les écoles en 1998 (coïncidence ? A partir de cette année, la hausse spectaculaire de sclérose en plaques débutée en 1995 s'arrêta brutalement). L'OMS critiqua vivement la France. La vaccination stagna dès lors à 25% jusqu'en 2004. Ce problème politique sera alors contourné : en généralisant les hexavalents (6 vaccins dans 1) le taux de vaccination à l'hépatite B atteignit 88% en 2012. Le tour était joué. Mais, la justice française se montra plus acérée. En 2009 le laboratoire fabricant fut condamné pour ne pas avoir mentionné sur la notice du vaccin les risques de sclérose en plaques, pourtant mentionné dans le dictionnaire Vidal dès 1994 (!), pointant du doigt l'illogisme parlementaire quant à l'absence de lien entre le vaccin et cette maladie, justement. Le tribunal de Nanterre statua ainsi : "l'imputabilité de la pathologie (...) à l'injection du vaccin (...) est établie", et deux victimes gagnèrent le procès en civil. Une centaine de victimes furent aussi finalement indemnisées par l'Etat, à l'amiable et sélectivement, tous les plaidants étant des professionnels de santé vaccinés par obligation et ayant développé des maladies en cause. Les tribunaux administratifs augmentèrent parfois les indemnités qu'ils jugèrent insuffisantes. Toutefois, les non professionnels de santé, citoyens lambda, perdirent pour ainsi dire systématiquement en civil, la preuve leur incombant de démontrer que leur pathologie était bien liée à la vaccination, au lieu que ce soit à la firme pharmaceutique de prouver que son vaccin n'avait pas de lien avec les maladies déclarées en masse. A noter qu'aux USA, à l'époque, une commission d'enquête parlementaire avait déjà relevé au moins 439 morts sur son territoire en lien avec la vaccination contre l'hépatite B, soulignant le rôle du lobbying pharmaceutique dans l'affaire.
Pour clore ce sujet, alors que ce rapport de 2001 estimait illogique et fruit d'un lobbying pernicieux de vacciner systématiquement contre l'hépatite B, depuis 2018 il fait partie des 11 vaccins obligatoires.
Les pro-vaccinations estiment que :
1. les vaccins ont permis un chute, voire une élimination de nombreuses maladies.
2. ce serait sans danger, maîtrisé et testé pour éviter les déboire des débuts de la vaccination.
3. le bénéfice/risque serait largement profitable.
Les anti-vaccinations avancent :
1. ce serait l'exode rurale, l'hygiène, la nutrition, les moeurs et conditions de vie qui auraient vraiment fait chuté les virus, non les vaccins.
2. les vaccins intoxiqueraient et provoqueraient diverses maladies auto-immunes, inflammatoires du système nerveux, augmenteraient avec d'autres médicaments divers cancers (foie, etc.), l'autisme, l'hyperactivité, maladies neuro-dégénératives, etc., parfois visibles qu'aux générations suivantes.
3. les vaccins serviraient essentiellement le lobbying de puissants intérêts économiques.
La difficulté de départager les deux camps vient notamment de la manipulation de l'information de part et d'autre pour cause d'idéologie et d'intérêts, mais aussi de la difficulté d'isoler les facteurs cause de baisse des infections et des morts, et à l'inverse les facteurs générant les pathologies contemporaines.
Ci-dessous évolution du tétanos en France. Vaccination obligatoire pour les militaires en 1936, et aux civils en 1940. Est-ce la vaccination qui a permis l'éradication du tétanos en France, ou l'exode rurale et conditions de vie ? Le graphique semble très paradoxal quant aux effets de la vaccination anti-tétanique. Moins d'1 mort par an, et 5-15 infections par an, toujours non parfaitement vaccinés. Proportion significative de non vaccinés ou non suffisamment en France pour 1 seul mort par an ? Variation avec l'immigration ? Chiffre d'affaires vaccinal total en France : près de 1/2 milliards d'euros. Monde : 70 milliards d'euros.
Ci-dessus, évolution de l'autisme en France. A ce jour aucune cause n'a été officiellement isolée. Passé de 1 personne sur 5000 en 1975, à 1 personne sur 68 en 2014, probablement 1/30 vers 2020...
Des chercheurs estiment que la vaccination peut conduire à la déclaration d'autisme, notamment si l'enfant a été vacciné très jeune avec le trivalent ROR. Plus de 1.000.000 de nouveaux cas d'autisme chaque année aux USA. Le film VAXXED est très perturbant de ce point de vue, témoignant d'une manipulation du Congrès et de l'ensemble des instances que rien n'arrête. Le témoignage d'un chercheur du CDC aux USA (centre de recherche et de prévention des maladies), William W. Thompson, a livré des informations très sensibles vers Brian Hooker, ce dernier ayant rendu public les informations glanées. Lien vers le film très didactique ci-dessous :
Ci-dessus évolution des morts par cancer du foie en Australie (homme > femmes), /100.000 habitants. - nota : des auteurs relèvent qu'en 30 ans depuis la vaccination contre l'hépatite B en Australie les cancers du foie chez l'homme on été multipliés par 4,5. Coïncidence ? Et pour quel bénéfice réel ?
Ci-contre évolution du nombre de décès par an de la rubéole en France. En 1925 on compte 2 décès dans l'année ; de même en 1995. La campagne de vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) a eu lieu en 1983 et ne s'est pas tarie. A titre de comparaison, la grippe tue en France entre 10.000 et 15.000 personnes chaque année. Le bénéfice / risque de se faire vacciner est-il légitime, ou est-ce une affaire financière ? Depuis 2018 est obligatoire en France. Son risque réel est de combien ? Pour seulement 3 morts en 2018.
Ci-contre évolution de la mortalité par oreillons en Angleterre et au Pays de Galles, par millions d'enfants.
La question du bénéfice / risque est l'argument le plus souvent mis en avant par les pro-vaccination, mais aussi mis en avant par les anti-vaccination. Autant il est difficile d'isoler les causes de l'autisme, scléroses en plaques, hyperactivité, maladies auto-immunes, cancers hépatiques et autres... Autant il est aussi souvent difficile d'isoler les morts évités par la vaccination par rapport aux morts évités par d'autres facteurs en lien avec l'évolution de nos modes de vie.
Bien que les méningites ourliennes à cause des oreillons aient disparu en France depuis le début des années 1990, soit depuis près de 30 ans, le vaccin est obligatoire depuis 2018.
Ci-contre évolution de la mortalité aux USA de la rougeole, avec l'introduction de son vaccin en 1963 ; nb de morts / 100.000 habitants. Toutefois, le nombre de morts n'est pas un indicateur fiable à lui tout seul car comme nous allons le voir, le nombre de cas montre une corrélation intéressante avec la vaccination.
La question des ingrédients des vaccins est souvent remise en cause par les partisans anti-vaccination. On y trouve notamment : des adjuvants (hydroxyde d'aluminium qui fait grand débat, aqualène, etc.), des conservateurs (mercure - ou sa forme beaucoup plus toxique le thimérosal et ses dérivés, phénoxyéthanol, etc.), du formol - classé cancérigène, des désinfectants (antibiotiques, etc.), des stabilisants, des émulsifiants, des solvants comme le tributylphosphate, du latex, etc.
Le Dr. MAE-WAN HO et Prof. Joe CUMMINS, au nom de l'Institue of Science in Society ont réalisé une synthèse documentaires en 2009 au sujet de la vaccination, de son efficacité et des risques liés à ses composants. Le titre en était : "vaccins nettement plus meurtriers que la grippe porcine ; les vaccinations de masse : un échec assuré". Cette analyse a été remise aux autorités de santé du Royaume-Uni ainsi qu'à la Food & Drug Administration des Etats-Unis d'Amérique. Une synthèse traduite en français a été réalisée par l'association belge GRAPPE. L'étude a été apportée dans le contexte de la grippe porcine de 2009 où le gouvernement des Etats-Unis avait été convaincu par les firmes pharmaceutiques et l'OMS de la pandémie inévitable, commandant pour 7 milliards de dollars de vaccins. Il est à noter qu'aux USA, depuis 2001, lorsqu'il y a vaccination humaine lors d'urgence sanitaire, quels que soient les résultats des vaccins et leurs effets secondaires, soient-ils mortels, en aucune manière l'Etat ou les citoyens ne peuvent désormais mettre en procès les fabricants pharmaceutiques. Vous trouverez le lien vers ce document ci-dessous.
La synthèse exprime qu'après l'analyse des 51 études sur la grippe en 2006 portant sur 260.000 enfants de 6 mois à 23 mois, les vaccins anti-grippe n'auraient pas donné de meilleurs résultats que les placebo. Un autre rapport de 2008 attesterait que la vaccination de la grippe chez les jeunes enfants n'entraînait pas de différence non plus dans le nombre de visites médicales et d'hospitalisation pour infections grippales chez la population étudiée. En revanche, une autre étude portant sur 800 enfants asthmatiques aux USA relevait que les enfants vaccinés appelaient plus souvent les médecins et les urgences hospitalières que les autres, de manière significative. Une étude publiée en 2009 repris les travaux et conclut à un risque d'hospitalisation multiplié par 3. Chez les adultes, y compris les personnes âgées, l'efficacité de la vaccination contre la grippe fut tout aussi décevante.
Rappelons la déclaration du Dr. Anthony Morris, virologiste et anciennement chef du Contrôle des vaccins au gouvernement des Etats-Unis d'Amérique : "Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent quand même à le vendre."
Relatif à la toxicité de ce type de vaccin et aux risques encourus, la synthèse met en garde les autorités sanitaires : "Les vaccins peuvent être intrinsèquement dangereux. Particulièrement, lorsqu’il s’agit de
virus vivants atténués ou de virus avec acide nucléique recombiné, ils ont la capacité de
générer des virus virulents par recombinaison et les acides nucléiques recombinants
peuvent provoquer des maladies auto-immunes. Une source supplémentaire de toxicité est
le recours aux adjuvants, substances ajoutées dans le but de renforcer le rôle immunitaire
des vaccins. La plupart des vaccins contre la grippe contiennent des taux dangereux de mercure, sous forme de thimérosal, un conservateur meurtrier, 50 fois plus toxique que le mercure lui-même. A des doses suffisamment élevées, le thimérosal peut provoquer des dysfonctionnement à long terme, immunitaires, sensoriels, neurologiques, moteurs et comportementaux. On associe à l'empoisonnement par le mercure l'autisme, la difficulté de concentration, la sclérose multiple et les déficiences d'élocution et du langage. L’Institut de Médecine a averti que les nouveau-nés, les enfants et les femmes enceintes ne devraient pas recevoir d’injection de thimérosal ; cependant, la majorité des doses de vaccin
contre la grippe en contiennent 25µg. Un autre adjuvant habituel est l’alumine (l’hydroxyde d’aluminium), qui peut provoquer des allergies, l’anaphylaxie et la myofasciite à macrophages, un syndrome d’inflammation chronique. De nombreux nouveaux adjuvants ne sont pas meilleurs et pourraient être pris. Selon une récente recension dans une publication scientifico-commerciale du secteur pharmaceutique, la plupart des adjuvants récents, incluant le MFS9, ISCOMS ; QS21 ; AS02 et AS04
présentent un risque de réaction locale et de toxicité systémique plus élevés que l’hydroxyde
d’aluminium."
Quand le tissu nerveux et cérébral s'inflamme, un autre symptôme moins connu
Si les mots encéphalomyélite myalgique, ou myofasciite à macrophages ne vous parlent pas, la fatigue chronique est un symptôme qui a commencé à faire parler de lui au fil du temps. Pr. Romain Gheraldi, chef de service au Centre expert en pathologie neuromusculaire, hôpital Henri-Mondor de Créteil, dénonce les causes vaccinales dans son livre, mais aussi comment l'information est cachée par décideurs politiques, médecins "experts", institutions sanitaires, tous étant infiltrés ou sous l'emprise de l'industrie pharmaceutique, selon le professeur.
Ci-dessus, manifestation à Lyon pour la liberté de vaccination et l'obtention de vaccins sans aluminium qui est l'un des composants qui fait le plus débat.
Est-il nécessaire de rappeler que les médecins français sont incités financièrement par la Sécurité Sociale à vacciner : en 2019 un médecin touche 140 euros par la Sécurité Sociale toutes les 20 vaccinations prescrites.
Quand l'armée italienne tombait sous les vaccins
Début 2018, un rapport parlementaire italien s'alarmait de milliers de décès et maladies graves dans le personnel de l'armée envoyé à l'étranger et sur lequel on avait administré des hexavalents à tour de bras. Evaluation faite des risques liés à l'armement (bombes à uranium appauvri, etc). Le rapport note l'explosion de cancers et maladies auto-immunes. Il pointe du doigt les vaccins combinés et multi-doses, avec un vrai recul statistique, 18 années d'étude et observation. L'étude relevait entre autre que la quantité des composants dépassait la limite légale autorisée de mise sur le marché pour les monovalents. Ce rapport, au moment où la ministre de la santé Agnès Buzyn annonçait le passage à 11 vaccins obligatoires en France, fut ignoré par les gouvernements très rapidement.
Pour l'anecdote qui coûte en de très nombreuses vies humaines du fait de l'intoxication, nous citerons le député François Ruffin qui, le 24 octobre 2018 accusait le Président de la République et le Premier Ministre de complicité avec le géant pharmaceutique Sanofi, en séance plénière devant l'Assemblée Nationale. L'usine Sanofi à Mourenx y fabrique la Dépakine (anti-épileptique) et y rejette 190.000 fois plus de bromopropane que la norme autorisée, d'après France Info. Or il s'agit d'une substance cancérigène, mutagène, toxique et narcotique. De plus, la Dépakine aurait été administrée à de nombreuses femmes enceintes et occasionnée plus de 30.000 cas d'autisme chez les nouveaux nés d'après l'Assurance Maladie et Agence du Médicament (pourtant qui en parle ? Trente mille personnes qui vont souffrir d'un handicap fort à vie !). Un mois après la dénonciation de France Info, le Président de la République recevait le "dodler", club des grandes firmes pharmaceutiques mondiales, présidé par Sanofi, et le président de Sanofi de se féliciter des décisions politiques du Président de la République favorables à la firme. La gouvernance politique existera-t-elle un jour souverainement face aux phénoménales puissances économiques de cette planète ? Ménager la chèvre et le chou, l'emploi, l'économie, l'industrie, la pollution et la santé sur notre territoire, ne doit pas être chose simple, au crédit des politiques. Notons toutefois que la seule pollution de l'air tuerai 9 millions de personnes par an selon des estimations de l'OMS, l'addition des pollutions eau + air + écosystèmes serait la cause d'1 décès sur 4 sur la planète.
Pour clore ce sujet, qui pourrait être alimenté tant et plus, les cas que l'on a tout lieu de croire plus positifs des vaccins contre la rougeole, la poliomyélite, la coqueluche et la diphtérie.
D'assez nombreux cas de rougeole existent en Europe, même si elle fait peu de morts (en Europe entre 0 et 42 morts par an entre 2005 et 2017, soit une moyenne de 11 morts par an sur le continent. L'année 2018 fut exceptionnellement élevée avec 74 décès toutefois). Ce n'est pas seulement le nombre de décès auquel nous devons nous intéresser, mais au nombre de cas car il existe des séquelles parfois sévères. L'OMS ne cesse de répéter que ce nombre de cas serait dû au manque de couverture vaccinale, dont la France qui est mauvaise élève sur ce point.
4 juillet 2017, à l’Assemblée. Discours de politique générale du Premier ministre :
« Des maladies que l’on croyait éradiquées se développent à nouveau sur notre territoire. Des enfants meurent de la rougeole aujourd’hui en France. Dans la patrie de Pasteur ce n’est pas admissible. L’an prochain, les vaccins pour la petite enfance, qui sont unanimement recommandés par les autorités de santé, deviendront obligatoires. »
Voyons cela de plus près :
Ci-dessus cas de rougeoles aux USA / 100.000 habitants, 1912-2000. Tout lieu de croire à une corrélation assez claire entre la vaccination et le nombre de cas déclarés.
Ci-dessus cas de rougeoles en Angleterre et Pays de Galle, 1940-2010. Là encore, le constat semble très positif et corrélé à la vaccination.
Ci-dessus nombre de cas / 100.000 habitants de poliomyélite aux USA, 1912-2001. Corrélation guère contestable ici aussi entre vaccination et chute des cas.
Ci-dessus nombre de cas / 100.000 habitants de poliomyélite en Angleterre et au Pays de Galle, 1912-2000. Corrélation qui semble juste encore une fois.
Ci-dessus nombre de cas / 100.000 habitants de coqueluche aux USA, 1922-2001. Corrélation apparente entre vaccination et chute des cas.
Ci-dessus nombre de cas de coqueluche en Angleterre et au Pays de Galle, 1940-2011. Corrélation assez fiable à-priori.
Ci-dessus, cas de diphtéries / 100.000 habitants aux USA, 1912-2001. Corrélation.
Nous pouvons ainsi terminé ce dossier synthétique des "pour" et "contre" la vaccination par une analyse très normande : en fonction des vaccins, des souches, des firmes, s'ils sont monovalents ou polyvalents, des contrôles, les vaccins peuvent apporter des bénéfices véritables ou non, voire peuvent être tragiquement meurtriers. La grande inconnue, cachée, non étudiée ou non évaluable, est le risque véritable, en terme d'allergies, d'asthme, d'inflammation de tissus nerveux, scléroses et paralysies, myofasciites, autisme, perturbations comportementales et neurologiques, fécondité, intoxications et cancers. Le fameux bénéfice / risque est en réalité totalement inconnu sur du long terme. Un mois et demi avant la rédaction de ce dossier, une mère était venue me consulter pour son enfant qui avait déclaré un eczéma hors norme, même l'hôpital était désarçonné, la cortisone ne donnant des résultats que modestes. L'enfant avait déclaré son affection au 3e mois. Aucune allergie décelée après des tests. Un régime alternatif au lactose, lactosérum, caséine et gluten ne donna pas de résultat. Dans le mois qui précédait la déclaration de l'eczéma géant, aucun choc traumatique connu. Une seule chose : dans le mois précédent, l'administration de 2 hexavalents d'affilée, soit vaccination contre 12 virus en même temps. Je posais la question à une amie praticienne de santé pour avoir son avis sur la question, elle me dit que son neveu avait été un enfant très calme et tranquille, jusqu'au jour de sa vaccination où il s'était mit à pleurer énormément, ne plus faire ses nuits, déclara un eczéma dont il souffre toujours près de 25 ans plus tard, et un léger trouble autistique. Coïncidence ? A plusieurs reprises je fus face à des consultants qui avaient déclaré une sclérose en plaques dans les deux mois suivant la vaccination contre l'hépatite B, leur médecin leur ayant affirmé qu'il n'y avait pas de rapport avec la vaccination. Qui pourrait prouver le lien ou l'absence de lien ? A chacun de faire son chemin sur cette question.